Toronto Prix du Jury à Biarritz & Prix du Public à Rotterdam
La Flor cambriole le cinéma en 6 épisodes, d’une durée totale de 13h34, le tout divisé en 4 parties.
Chaque épisode correspond à un genre cinématogra-phique. Le premier est une série B, comme les Américains avaient l’habitude d’en faire. Le second est un mélodrame musical avec une pointe de mystère. Le troisième est un film d’espionnage. Le quatrième est une mise en abîme du cinéma. Le cinquième revisite un vieux film français. Le sixième parle de femmes captives au 19e siècle.
Mon tout forme « La Flor ».
Ces 6 épisodes, ces 6 genres ont un seul point commun : leurs 4 comédiennes.
D’un épisode à l’autre, La Flor change radicalement d’univers, et chaque actrice passe d’un monde à l’autre, d’une fiction à une autre, d’un emploi à un autre, comme dans un bal masqué. Ce sont les actrices qui font avancer le récit, ce sont elles aussi qu’au fur et à mesure, le film révèle. Au bout de l’histoire, à la fin du film, toutes ces images finiront par dresser leurs quatre portraits.
Expérience hors-norme, l’œuvre de l’Argentin est une fresque foisonnante, imprévisible et impossible à résumer, mue par le seul plaisir de la fiction. Libé
Il fallait bien treize heures au cinéaste argentin pour déployer ce monde baroque qui mêle les amours et les aventures de quatre femmes à l’histoire du cinéma. Du jamais-vu. Télérama
Mercredi | 24/04/2019 | 19h |
Jeudi | 25/04/2019 | - |
Vendredi | 26/04/2019 | - |
Samedi | 27/04/2019 | - |
Dimanche | 28/04/2019 | - |
Lundi | 29/04/2019 | 16h30 |
Mardi | 30/04/2019 | - |