Il y a des jours où on n’en peut plus de la ville, où nos yeux ne supportent plus de ne voir que des immeubles et nos oreilles de n’entendre que des moteurs... Alors on se souvient de la Nature, et on pense au Bois.
Au-delà de la grande émotion provoquée par le film, par la générosité manifeste de son auteur, c’est cette possibilité de rencontres qu’il faut retenir du Bois, cette réelle diversité quid épasse les cases dures de la réalité – le riche, le pauvre, le Blanc, l’Arabe, l’hétéro, l’homo. Les Cahiers du Cinéma
*dimanche 29 à 20h
en présence de la réalisatrice
Mercredi | 25/05/16 | - |
Jeudi | 26/05/16 | - |
Vendredi | 27/05/16 | 15h |
Samedi | 28/05/16 | - |
Dimanche | 29/05/16 | 20h* |
Lundi | 30/05/16 | 18h |
Mardi | 31/05/16 | 20h30 |